Faire la Paix là où nous trouvons : accueillons chacun dans sa différence.
Aujourd’hui j’écoute l’autre, je combats l’injustice, le harcèlement. Même confiné, je peux agir pour guérir les relations de conflit.
Aujourd’hui j’écoute l’autre, je combats l’injustice, le harcèlement. Même confiné, je peux agir pour guérir les relations de conflit.
Aujourd’hui je pardonne, je fais cadeau d’un sourire, j’aide un étranger, j’appelle quelqu’un qui vit seul.
Aujourd’hui je prends le temps de réfléchir à mes actions et à ma contribution pour la paix dans le monde, mais surtout autour de moi.
Cet écrit de Chiara Lubich aborde un sujet que la pandémie actuelle a beaucoup mis en évidence : la souffrance. Il nous aide à y saisir une mystérieuse présence de Dieu et à voir que rien n’échappe à son amour. Ce regard authentiquement chrétien insuffle l’espérance et nous encourage à faire nôtre toute souffrance : celle qui nous touche directement, comme la souffrance de ceux qui nous entourent.
Les vœux de Maria Voce, présidente des Focolari, pour cette fête de Pâques : faire l’expérience du passage continu de la mort à la Résurrection grâce à l’amour pour le frère. Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons surmonter ce moment douloureux de la pandémie et toute autre souffrance.
Cette année, pour de nombreux chrétiens, les jours de la Semaine Sainte et de Pâques – que les Églises occidentales célèbrent le 12 avril tandis que les Églises orthodoxes et les Églises orientales orthodoxes le font le 19 avril – seront une expérience particulière. En raison de la pandémie de Coronavirus, ils ne pourront pas participer physiquement aux célébrations liturgiques. Dans le texte suivant, datant de 2000, Chiara Lubich fait des propositions sur la manière de vivre ces « jours saints ».
En cette période de coronavirus, souvent nous n’avons plus la possibilité de rendre visite à des parents, des amis ou des connaissances que nous savons dans le besoin. Les moyens de communication semblent l’unique moyen possible pour faire arriver notre amour concrètement. Le texte suivant nous montre aussi une autre forme d’action.
Beaucoup de personnes, en ces jours de pandémie qui afflige l’humanité, se demandent où est Dieu. Dans cet écrit, Chiara Lubich nous invite à croire que rien de ce que nous vivons, même si c’est très douloureux, n’échappe à son amour et que, derrière chaque chose, se cache une finalité positive même si, sur le moment, nous ne la voyons pas.
Ils sont nombreux les gestes de soutien dans le monde entier, la communion et le partage afin de diffuser l’ « antivirus » de la fraternité.
Message de Maria Voce, Présidente du Mouvement des Focolari, aux communautés du Mouvement dans le monde pour le 14 mars, anniversaire de la mort de Chiara Lubich.