Merci Pape François
À l’occasion des 10 ans de Pontificat du Pape François, Margaret Karram, Présidente des Focolari, a fait parvenir au Pape un message au nom du Mouvement, que nous publions ci-dessous.
Votre Sainteté, très cher Pape François,
Je m’unis aux prières qui s’élèvent de très nombreux points du monde pour remercier Dieu pour ces dix années où vous avez étreint l’Église et l’humanité en vous faisant messager de l’amour du Christ.
Merci, Saint-Père, pour ce temps de lumière, de courage, de foi inébranlable et d’écoute de l’Esprit Saint, où vous nous appelez sans relâche à « sortir » de nos maisons et de nos communautés, pour marcher sur les routes du monde et partager les joies et les souffrances des femmes et des hommes de notre temps.
J’ai encore dans le cœur la joie et la gratitude pour notre dernière rencontre, le 24 février, lorsque vous nous avez reçus en audience avec quelques modérateurs de Mouvements ecclésiaux et Nouvelles Communautés. Nous avons été témoins une fois encore de votre sagesse clairvoyante et de votre réalisme évangélique, et je dois vous dire que vos paroles me guident et m’encouragent chaque jour dans mon service de l’Église et de la fraternité humaine.
Les sujets abordés avec vous, Sainteté, feront l’objet d’une réflexion et d’un dialogue, notamment votre recommandation d’être des témoins cohérents, dociles à la nouveauté de l’Esprit, afin que la dimension mariale de l’Église et la richesse de la femme dans la vie ecclésiale puissent venir en évidence, aussi grâce à la contribution de la vie des Mouvements.
En chaque point du monde où nous nous trouvons, nous sommes avec vous pour construire l’Église, donner notre vie afin que la paix soit rétablie là où elle fait défaut et porte, comme fruits, la justice et la réconciliation entre les peuples.
En plus de notre prière quotidienne, je vous adresse, également au nom du Mouvement des Focolari, nos vœux les plus chaleureux pour ce que vous désirez et pour votre santé.
Que la Très Sainte Vierge Marie vous accompagne de ses consolations maternelles.
Avec notre affection filiale,
Margaret Karram